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Prendre en compte la technologie dans son bilan

Découvrez comment le cabinet comptable spécialisé WBM a adopté les services en nuage et Internet par fibre optique de Rogers Affaires pour assurer la sécurité de ses données et conserver un avantage concurrentiel considérable.

« Notre stationnement est devenu une piscine pendant l’inondation », se souvient Al-Karim Moloo, partenaire chez WBM, cabinet comptable de Calgary spécialisé dans les services de consultation et les services fiscaux, qu’il a également cofondé en 2009. « Nous ne sommes pas un cabinet comptable standard, affirme-t-il. Nous avons une clientèle diversifiée d’entrepreneurs fortunés qui exploitent des entreprises à l’échelle nationale et internationale. Nos clients sont issus de divers secteurs : de la fabrication à l’hôtellerie, en passant par le développement, l’expédition et bien plus encore. Pour nous, il ne s’agit pas simplement de produire un bilan. Même le revenu de nos clients n’a pas une importance capitale. Ce qui compte pour nous, c’est de répondre aux besoins de nos clients et de leur proposer les solutions qui leur conviennent. Nous avons même un bureau de gestion de patrimoine, où des conseillers de confiance peuvent aider nos clients à gérer leurs affaires personnelles, comme la planification successorale. »

C’est cet engagement à offrir des solutions personnalisées qui a orienté Al-Karim vers Rogers Affaires. « Nous sommes fiers d’être des conseillers de confiance pour nos clients, affirme-t-il, et c’est pourquoi nous voulons faire affaire avec des entreprises qui seront des conseillers de confiance pour nous. »

Lorsque Calgary a été inondée en 2013, WBM a dû fermer et déplacer ses serveurs, ce qui a entraîné un retard équivalant à une semaine de travail et quelques problèmes techniques. « Cela m’a vraiment fait réfléchir à la reprise après sinistre et à la planification d’urgence », explique Al-Karim. Et malheureusement, l’inondation n’aura pas été le seul risque auquel leurs serveurs seraient exposés au fil des ans. Un restaurant de leur immeuble a été victime d’un incendie possiblement criminel, et une série de vols ont été commis, mais heureusement, leur bureau n’a pas été touché.

Et puis, bien sûr, il y a eu la pandémie de COVID‑19. « La COVID‑19 a vraiment redéfini notre façon de faire des affaires, affirme Al-Karim. Nous sommes un service essentiel, alors nous avons du personnel au bureau, mais il y a aussi des employés qui travaillent à domicile maintenant. » Le risque, c’est que lorsqu’un employé accède au serveur de son employeur par Internet, il peut exposer le réseau de l’entreprise à davantage de cybermenaces.

« Nous sommes fiers d’être des conseillers de confiance pour nos clients, et c’est pourquoi nous voulons faire affaire avec des entreprises qui seront des conseillers de confiance pour nous. »

Cependant, en dépit des inondations, de l’incendie criminel, des vols et de la pandémie, un autre risque a ironiquement émergé du succès de l’entreprise. En 2015, WBM a ouvert un bureau en Ontario. Ce nouvel emplacement a créé une autre situation dans laquelle de nombreux employés accéderaient au serveur de l’entreprise par Internet. « Le serveur pour les deux emplacements était hébergé à notre bureau de Calgary, explique Al-Karim, ce qui créait un autre éventuel point de défaillance pour nous. »

Épuisé par les multiples obstacles et embûches, Al-Karim savait qu’il était temps de faire un changement permanent qui protégerait mieux non seulement les renseignements de ses clients, mais aussi la réputation de son entreprise. « Le problème ne tenait pas vraiment au fait que les données seraient irrécupérables, affirme-t-il. L’enjeu était le délai de remise en marche. » Le souvenir de la semaine perdue de 2013 étant encore frais, Al-Karim comprend bien tout le mal que peut faire un seul serveur en panne. « La date limite pour produire une déclaration de revenus des particuliers est le 30 avril. Et si je n’arrivais pas à la respecter? Quelles sont les pénalités pour mes clients? L’exercice de nombreuses entreprises se termine en décembre. Et si j’étais en retard? Lorsque je pense aux possibles dommages à la réputation, je n’arrive même pas à évaluer ce que cela pourrait représenter. »

« En tant que consommateur, vous voulez travailler avec des gens qui partagent les mêmes principes et valeurs. »

Pour trouver une solution, Al-Karim avait besoin de la bonne expertise. « Le parcours a été très intéressant; on a commencé par un ou deux ordinateurs et vite réalisé que ce que vous utilisez à la maison et ce dont vous avez besoin pour exploiter une entreprise sont deux choses complètement différentes », affirme-t-il. Il était également important que le fournisseur éventuel soit reconnu partout au pays. « Je voulais m’associer à une entreprise canadienne de bonne réputation d’un océan à l’autre, pas seulement pour ma tranquillité d’esprit, mais pour celle de mes clients également. »

Mais il y avait un autre facteur tout aussi important, voire plus important que la réputation et la présence nationale. « Nos valeurs fondamentales sont l’intégrité, le respect et l’excellence, affirme Al-Karim. En tant que consommateur, vous voulez travailler avec des gens qui partagent les mêmes principes et valeurs. »

Dans cette optique, Al-Karim s’est empressé d’appeler Imagine Wireless, un concessionnaire autorisé de Rogers Affaires dans l’Ouest canadien. « Nous sommes un client d’Imagine Wireless depuis environ six ans, affirme-t-il. Nous pouvons appeler ce fournisseur pour obtenir des conseils sans craindre qu’on tente de nous vendre quelque chose. La relation a été formidable; cette entreprise est notre guichet unique. »

Le conseil : rendre les fonctionnalités du serveur de l’entreprise accessibles par Internet en les déplaçant dans le nuage, éliminant ainsi la dépendance à une infrastructure de TI locale. Plus précisément, un environnement en nuage privé virtuel a été recommandé. « Il s’agit d’un investissement important, mais justifié », affirme Al-Karim, expliquant pourquoi WBM a opté pour un modèle de déploiement en nuage privé virtuel au lieu du nuage public courant. « C’est notre nuage. Il est privé. Il nous appartient, affirme-t-il. » Contrairement à un nuage public, dans lequel les ressources informatiques sont partagées entre plusieurs clients et pour lequel le paiement est effectué en fonction de l’utilisation courante, le nuage privé virtuel, bien qu’il réside dans un nuage public, est un environnement isolé dédié à un client en particulier qui paie la réservation, et non l’utilisation, des ressources informatiques. Ce modèle de paiement signifie que les entreprises ayant des besoins imprévisibles peuvent tout de même être soucieuses des coûts.

Bien entendu, les services en nuage ne sont efficaces que s’ils peuvent s’appuyer sur une connexion Internet de qualité. Il était donc clair que pour passer au nuage privé virtuel, WBM devait également rehausser son service Internet. « J’ai des enfants, alors je comprends que la bande passante est mise à rude épreuve lorsque tout le monde essaie d’utiliser Internet pour différentes raisons, explique Al-Karim. Alors, comme deux bureaux se connecteront au même emplacement, je voulais réduire ce problème au minimum. C’est pourquoi nous avons opté pour une connexion par fibre optique dédiée. »

Le service Internet spécialisé de Rogers assure facilement la vitesse, la fiabilité et la sécurité nécessaires pour utiliser la solution de nuage privé virtuel de façon optimale. Mais Al-Karim a également tenu compte de la zone de couverture de la fibre optique de Rogers à Calgary. « Je crois savoir que Rogers offre la connectivité à la plupart des endroits de Calgary, affirme-t-il. Alors, si nous devions déménager dans un autre édifice, le service serait toujours disponible. »

« La relation a été formidable; cette entreprise est notre guichet unique. »

Pour Al-Karim, les nouvelles solutions ne sont pas une chose à laquelle il pense seulement lorsqu’un besoin se présente; il comprend que ce sont les premiers à adopter les nouvelles technologies qui ouvrent la voie dans leur industrie, ce qui leur permet d’offrir de meilleurs services à leurs clients avant que la concurrence ne le fasse. « Dans notre industrie, il est rare de trouver une entreprise qui adopte une nouvelle technologie immédiatement, affirme-t-il. Il y a beaucoup d’entreprises dans notre secteur qui sont très ancrées dans leurs habitudes. » Al-Karim croit que l’ouverture de l’entreprise aux nouvelles technologies est un autre facteur qui lui permet de se démarquer de la concurrence.

De plus, il ne fait aucun doute vers qui WBM peut se tourner pour profiter de ces nouvelles technologies. « Ils sont très compétents », dit-il à propos de l’équipe d’Imagine Wireless. Je sais que je peux m’adresser à eux lorsque j’ai une question sur une solution possible, et je sais qu’ils me répondront en me proposant ce qui se fait de mieux, comme je le ferais pour mes propres clients. »

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