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Comment les systèmes IdO protègent-ils la qualité de l’air intérieur pour les locataires et les visiteurs?

Les propriétaires et les gestionnaires d’immeubles adoptent les nouvelles technologies pour la nouvelle normalité.

La pandémie de coronavirus a servi de sonnette d’alarme : nous ne pouvons plus considérer l’air que nous respirons comme acquis.

Selon les scientifiques de la santé publique, le fait de se réunir en plein air réduit considérablement le risque de transmission de la COVID-19. Mais il n’en reste pas moins que nous passons 90 % de notre temps à l’intérieur. Au Canada, nous y passons une grande partie de l’année en raison de notre climat.

Comme le fait remarquer le Centre de collaboration nationale en santé environnementale (CCNSE) de Vancouver :

La pandémie de COVID-19 illustre l’urgence d’améliorer la qualité de l’air intérieur en raison des risques accrus de contracter une infection virale respiratoire dans les espaces intérieurs par rapport à l’extérieur..... Une réévaluation de l’environnement intérieur est nécessaire pour se préparer à l’émergence de nouveaux variants du virus SRAS-CoV-2, et pour comprendre les risques si la COVID-19 devient endémique à long terme, au même titre que d’autres agents pathogènes respiratoires.

Pour les propriétaires et les gestionnaires d’immeubles, cette nouvelle réalité jette un regard nouveau sur l’efficacité de leur système CVCA en matière de filtration. Ce qui définit l’air comme « propre » doit désormais répondre à des normes plus strictes. Comment peut-on garantir à ceux et celles qui vivent, travaillent et visitent les immeubles que l’air à l’intérieur est de bonne qualité?

Un regain d’intérêt pour la prévention

La qualité de l’air intérieur des immeubles commerciaux et des autres types d’immeubles à locataires multiples est une préoccupation de longue date. Dès 1986, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a inventé le terme « syndrome des bâtiments malsains » (SBM) pour désigner les cas où les occupants et occupantes d’un immeuble subissent des effets aigus sur la santé et des malaises sans qu’aucune maladie ou cause spécifique ne soit identifiée. Selon un sondage publié en août 2021 (en anglais), 73 % de la population en Amérique du Nord n’ont pas confiance dans la qualité de l’air des bureaux ou des copropriétés.

Bien entendu, les risques liés à l’air intérieur ne se limitent pas aux molécules de virus. De multiples autres formes de particules ou de gaz nocifs peuvent circuler à l’intérieur et avoir un impact négatif sur la santé des personnes qui y vivent, qui y travaillent ou qui y séjournent, notamment : le monoxyde de carbone (CO), le dioxyde d’azote (NO2), le dioxyde de soufre (SO2); les spores de moisissures, les bactéries, la poussière et la fumée; et les composés organiques volatils (COV) tels que ceux contenus dans les solvants, les produits oxygénés des carburants ou les sous-produits de la chloration de l’eau, comme le chloroforme.

Mais comme le Centre de collaboration nationale en santé environnementale l’a signalé en juin 2021 (en anglais), l’augmentation des variants de la COVID-19 « a également incité à réévaluer l’environnement intérieur de manière plus générale, en se concentrant sur la manière d’améliorer et de maintenir une qualité d’air intérieur saine tout en atténuant les risques liés aux agents pathogènes circulant dans la communauté. »

Visualiser les changements de la qualité de l’air intérieur

Pour les gestionnaires d’immeubles, ces données en temps réel les aident à mieux comprendre les fluctuations de la qualité de l’air dans leurs immeubles et à prendre des décisions éclairées sur-le-champ. Grâce à un système de notifications, elles ou ils peuvent être alertés lorsque la qualité de l’air intérieur ou les paramètres de fonctionnement du système CVCA sont inférieurs aux normes ou aux seuils fixés, ce qui leur permet de réagir rapidement pour éviter les plaintes et les maladies.

Les gestionnaires d’immeubles peuvent consulter les données brutes au fur et à mesure qu’elles sont recueillies grâce à des tableaux de bord intuitifs sur le web en plus de vérifier les lignes de base, les tendances et les anomalies, que ce soit dans un seul immeuble ou dans l’ensemble des immeubles. En identifiant ces tendances au fil du temps, les gestionnaires des installations peuvent adapter leur approche de manière proactive selon le moment, l’endroit et la raison de la dégradation de la qualité de l’air. Les gestionnaires des installations peuvent également générer des rapports sur l’activité dans l’immeuble afin de partager les progrès avec les exploitants et les parties prenantes, et fournir des preuves de la qualité de l’air et de son amélioration.

Au fur et à mesure que les données sont recueillies, les systèmes de purification de l’air peuvent assurer une décontamination continue. La technologie d’ionisation bipolaire à aiguille réduit considérablement la présence de particules, y compris la fumée, et tue les agents pathogènes tels que les bactéries, les virus et les moisissures. Cela peut contribuer à atténuer les symptômes causés par les allergènes et l’asthme, et à neutraliser les odeurs en détruisant les COV.

Optimiser la consommation d’énergie

Bien sûr, les mises à jour en temps réel sur les changements de la qualité de l’air remontent souvent aux performances du système CVCA. C’est pourquoi l’un des plus grands avantages des systèmes de surveillance intelligente de la qualité de l’air est qu’ils aident les installations à améliorer l’efficacité énergétique du CVCA et à s’inscrire dans une démarche de durabilité pour un immeuble plus vert. L’analyse prédictive peut aider à réduire les coûts d’exploitation et à traiter de manière préventive tout dysfonctionnement potentiel de l’équipement.

Les immeubles intelligents sont des immeubles plus sûrs

Rogers service Affaires s’est associée à IES Ventures pour offrir des solutions intelligentes de surveillance et de purification de l’air dans le cadre de son portefeuille croissant d’immeubles intelligents. Grâce à l’accès à des partenaires de technologies de premier plan, au réseau de confiance au pays* et à notre équipe de spécialistes des immeubles intelligents, Rogers peut vous aider à optimiser l’infrastructure de votre immeuble, l’efficacité opérationnelle et la sécurité. Nos solutions peuvent s’intégrer de façon harmonieuse à vos systèmes actuels et fournir des informations en temps réel afin que vous puissiez prendre des décisions judicieuses.

Pour savoir comment les solutions intelligentes de surveillance et de purification de la qualité de l’air peuvent rendre vos immeubles plus sains, communiquez avec un représentant ou une représentante de Rogers service Affaires.

Cette publication fait partie d’une série sur la transformation des villes grâce aux technologies intelligentes. Consultez les publications connexes ici.